L'ADEAS demande le retour à un dividende de 0,50 euro « qui permettrait de revenir au ratio de distribution de 2004, qui apparaissait beaucoup plus raisonnable »...
note encore l'ADEAS. Et de citer : « un dévoiement des règles du capitalisme, qui pour autant ne bénéficie pas au cours de l'action de France Télécom ; une politique à contre-courant des leaders mondiaux des nouvelles technologies ; une lourde hypothèque sur le futur de l'entreprise... ».
...« Last but not least »,l'ADEASdemande à l'Etat actionnaire (avec 27% du capital) de prendre toutes ses responsabilités, « il a tous les moyens d'infléchir cette politique irresponsable pour la pérennité de l'entreprise ». Au fait, qu'en pense Stéphane Richard ?