Elections CAP/CCP 2022 : Merci à nos électrices et à nos électeurs !
Nous remercions chaleureusement celles et ceux qui se sont mobilisés pour choisir nos candidats, qui les défendront dans les Commissions Paritaires pendant 4 ans, et qui ont favorablement apprécié notre association avec la CFTC.
Notre progression se poursuit sur l’ensemble des collèges. Nos listes communes CFE-CGC Orange/CFTC arrivent en tête chez les cadres (devant les listes CFDT/UNSA) en creusant à nouveau l’écart. Notre alliance connait aussi la plus forte progression chez les Fonctionnaires pour devenir la deuxième organisation. De même, sur les non-cadres, nous enregistrons la plus forte progression, à plus de 5 points.
Ces élections atypiques, avec un parcours de vote de plus en plus complexe, mobilisent moins que celles des Comités Sociaux et Économiques (CSE) et voient leur taux d’abstention progresser légèrement.
Forts de cette représentativité renforcée, nous continuerons de vous défendre assidûment… même si nous vous souhaitons surtout de ne jamais avoir besoin d’être défendus en Commission Paritaire.
Retrouvez la liste complète de vos élus sur anoo : https://oran.ge/3VVpSOp
Commissions Administratives Paritaires (CAP)
Les listes CFE-CGC Orange/CFTC progressent de 4,89 % par rapport à 2018. Elles emportent 4 sièges parmi les 10 sièges de la CAP 1 (cadres supérieurs).
La CFE-CGC Orange devient la 2ème organisation syndicale auprès des fonctionnaires d’Orange, en dépassant SUD et la CGT.
Commissions Consultatives Paritaires (CCP)
Les listes CFE-CGC Orange/CFTC progressent de 8,11 % depuis les élections de 2013, recueillant près de 37% des suffrages. Elles restent les premières représentantes des salariés de droit privé, en creusant encore l’écart avec les listes CFDT/UNSA.
En progressant encore une fois de plus de 5,66 % sur le collège non-cadres, elles deviennent troisièmes auprès de ces salariés, et passent devant Sud et FO.
Une fois de plus, le vote électronique a connu de nombreux problèmes techniques. L’élection a commencé avec 2h30 de retard suite à un « bug » lié à la clé de sécurité du vote. Les parcours de vote se complexifient et découragent de nombreux collègues. Alors que le vote électronique devrait faciliter la sortie des résultats, la Direction, sous prétexte de RGPD, gêne les opérations de contrôle du scrutin, ce qui rend au final les opérations de dépouillement extrêmement lentes.
La « 1ère entreprise digitale de France » devrait faire appel à des prestataires qui maîtrisent mieux le « parcours client » et les outils de contrôle du scrutin, pour un vote plus fluide et un dépouillement plus rapide.
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