Rédigé par Stéphanie CRESPIN le . Publié dans INNOV.
Force est de constater que le grand nombre de départs a eu un impact négatif sur ceux et celles qui restent.
Aucune activité n’est prévue en croissance pour les années à venir et des priorités vont être à déterminer aux vues de la forte baisse des effectifs en cours et à venir en 2023.
Nous n’avons eu que peu d’informations sur l’adaptation des activités ; rien de très nouveau de ce côté là non plus.
La direction attend la prochaine GPEC en avril prochain pour nous en dire plus sur les nouvelles orientations et les priorités de nos activités d’innovation. Nous restons donc dans l’expectative.
Le bilan TPS est beaucoup plus clair.
On compte 489 départs au 31 décembre 2022, sur un potentiel de 748. Plus de 65% des éligibles ont donc choisi de partir, c’est bien plus que ce qu’espérait par la direction.
Un succès donc pour la direction.
Si la direction a oublié d’indiquer dans le dossier les répartitions par direction fonctionnelle, elle les communiquera ultérieurement, mais rien ne sera fourni sur le niveau de primes de départ (cf. la fameuse DG51) ni sur les rachats de trimestres, sous couvert de confidentialité.
Un manque de transparence assez peu loyal, mais les bonnes vieilles méthodes semblent perdurer, n’en déplaise à notre nouvelle DG.
A noter également, un nombre beaucoup plus élevé de démissions en 2022, avec 42 départs contre seulement une quinzaine les années précédentes.
La relation de cause à effet n’est peut-être pas évidente mais une étude de ce phénomène de départs massifs serait utile pour les personnels et la sauvegarde de nos activités.
Par Olivier Bouffant
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