DGC : Comment stimuler une équipe de vendeur ?

Le fabuleux destin de DGC
  1. Début du tournage 
  2. Le sketch : Les groopies de Rocky version DGC
  3. La morale de ce tournage
Le fabuleux destin de Rocky Balboa
  1. La naissance du film 
  2. Les récompenses
  3. Le scénario du film
  4. Fin du film
Le fabuleux destin de DGC

C’est le 5 février 2008 qu’a lieu le tournage du film « le fabuleux destin de DGC », à la Grande Halle de la Villette, où sont présents 850 collaborateurs de la Direction des Grands Comptes et d’autres entités de France Télécom – Orange Business Services.

Dans la salle amphithéâtre Gaston Berger de la Cité des Sciences et de l'Industrie, nous sommes accueillis par Barbara Dalibard, Directeur de SCE, Services Clients Entreprises, avec comme idée-force « Together we can do more », sachant qu’en 2007, on en a déjà fait beaucoup, voire énormément, et qu’on a dépassé tous nos objectifs de croissance..., au prix d’efforts considérables !

Derrière elle, un super décor de tournage de film, avec des tissus colorés, une grosse caméra, un rail de tournage… parce qu’on y est, nous les salariés de DGC, pour de vrai ! Un animateur fera le lien, toute la journée durant, casque sans fil sur la tête et casquette bien accrochée sur le crâne, entre les présentations des priorités 2008 de nos directions et les sketches d’animation et de participation des salariés, des caméras faisant apparaître sur grand écran, en permanence, nos trombines. Gare à celui qui se gratte le nez ou à celle qui ne suit pas les consignes !

Le sketch : Les groopies de Rocky version DGC

De tous les sketches d’animation, un sketch en particulier a été porteur d’une très grande symbolique. En début d’après-midi, les salariés ayant participé plus ou moins activement à certaines animations, suivant le passage de la caméra qui passe dans les allées et les filme, à l’insu de leur plein gré, l’échange entre la salle et la scène va connaître une activité amplifiée et une participation déchaînée.

L’animateur nous demande de nouer autour de nos fronts un bandeau de tissu orange distribué à chaque salarié dans une sorte de « pochette surprise ». Il veille à ce que chacune et chacun ait bien suivi ses instructions, et gare aux désobéissants, puisqu’il leur rappelle que leur image passe à l’écran ! C’est alors que Mickey, l’entraîneur de Rocky vient faire son apparition, sous la musique sonore et scandée du film « Rocky » : il arrive avec ses pansements, son jogging, son faciès de macho plutôt brutal, ganté et transpirant, nous scander ses messages.

Et là, il nous demande de « cogner », filles et garçons, tout en passant des messages sur nos priorités, d’une voie rocailleuse. De nombreuses fois du reste, il fera des allusions machistes et vulgaires, jusqu’à singer l’acte sexuel ou se moquer d’un garçon qui n’arrive pas à comprendre le journal « Marie-Claire ». Quelques réfractaires ne mettront pas le bandeau, mais ils disparaitront dans la masse de toutes celles et ceux qui pendant quelques minutes longues, très longues, vont se prêter à ce jeu - mais en est-ce un – et faire des moulinets dans le vide avec leurs bras ?

Lorsque l’on sait que c’est un salarié qui a interprété ce rôle lors de cette journée de tournage mémorable, à plus d’un titre, on peut légitimement se demander sur qui lui-même cogne et sur qui nous devons cogner, nous les salariés au bandeau orange (au passage, il a fait un amalgame entre les héros de Sylvester Stallone : c’est bien Rambo qui porte le bandeau, il devrait réviser ses classiques).

Faut-il donc cogner :

  1. sur ses collègues, pour garder sa place, étant donné les vagues de suppression de postes annoncées, en particulier dans le domaine de la facturation, où travaille ce garçon, « héros » d’un jour ?
  2. sur sa femme ?
  3. sur la concurrence ?
  4. sur soi, pour se motiver à bosser à la dure, avec de moins en moins de moyens et de plus en plus d’objectifs ?

La morale de ce tournage

Ben moi, j’ai décidé de faire comme Rocky : au bout de tous ces multiples challenges et de ces rounds infinis, exténuée par tous ces coups et toutes ces blessures que l’Entreprise m’a portés, j’ai décidé ne plus vaincre et d’être gagnante mentalement, en tombant dans les bras de celui qui m’aime.

Le fabuleux destin de Rocky Balboa

La naissance du film

C’est en 1976 que le film « Rocky » sort en salle et obtient des critiques positives. Le « Chicago Sun Times » donne au film une note de 4 étoiles sur 4. Plus de 30 ans après la sortie, le film jouit d'une réputation de classique et reçoit encore régulièrement des critiques positives. En 2006, le film est sélectionné pour être conservé dans le National Film Registry américain.

Le concept original de Rocky et son personnage principal a été inspiré à Sylvester Stallone par un combat entre Muhammed Ali et Chuck Wepner. L'idée qu'un boxeur inconnu tienne le match entier et contre toutes les espérances intéresse Stallone. Il commence donc l'écriture du scénario « Paradise Alley ». Après la lecture du script, les producteurs Irwin Winkler Irwin et Robert Chartoff demandent à le rencontrer. Les deux hommes décident de soutenir financièrement Stallone. L’acteur insiste pour qu'on lui donne une chance de briller dans le film. Il affirmera plus tard qu'il ne se serait jamais pardonné si le film avait rencontré le même succès avec quelqu'un d'autre à l'affiche.

Les récompenses

« Rocky » obtient en 1977 10 nominations aux Academy Awards dans 9 catégories distinctes dont l’oscar du meilleur film, du meilleur réalisateur, du meilleur montage, du meilleur acteur, de la meilleure actrice, des meilleurs seconds rôles, de la meilleure chanson, du meilleur son et du meilleur scénario original.

Le scénario du film

Ca se passe en Novembre 1975, à Philadelphie. Rocky Balboa travaille pour Tony Gazzo, un usurier, et dispute de temps à autre, pour quelques dizaines de dollars, des combats de boxe sous l'appellation de « l'Étalon Italien ». Cependant, Mickey, son vieil entraîneur, le laisse tomber, et son ami Paulie, qui travaille dans un entrepôt frigorifique, encourage Rocky à sortir avec sa sœur Adrian, une jeune vendeuse réservée d'un magasin d'animaux domestiques.

Pendant ce temps, le championnat du monde de boxe catégorie poids lourd est prévu pour le jour du nouvel an 1976, année du bicentenaire des États-Unis. Quand le challenger n°1 du champion invaincu Apollo Creed se blesse, l'entrepreneur du combat recherche un nouvel adversaire pour remettre le titre en jeu mais la plupart des champions refusent de se mesurer à Creed.

L'idée d'un match contre un boxeur local de Philadelphie naît alors. Décidé à donner une chance de remporter le titre de champion du monde des poids lourds à un boxeur de seconde zone (en étant cependant sûr de sa propre victoire), Apollo Creed porte son choix sur Rocky Balboa, une fausse patte - c'est-à-dire un gaucher - dont le surnom de « L'étalon italien » l'amuse.

Pour se préparer au combat, Rocky prend pour entraîneur l'ex-boxeur des années 20, Mickey Goldmill, qui venait pourtant de le jeter de sa salle d'entraînement peu de temps auparavant. Quant à son meilleur ami Paulie, il le laisse frapper sur des carcasses de viande dans l'entrepôt où il travaille.

Pendant son entraînement, Rocky flirte avec Adrian, la discrète sœur de Paulie. La nuit avant le match, Rocky confie à Adrian qu'il n'espère pas battre Creed, mais tout ce qu'il veut c'est tenir la distance contre le champion en titre, tenir les 15 rounds contre lui.

Au départ, Creed prend le combat à la légère, pensant ne faire qu'une bouchée de l'amateur. Mais le boxeur amateur le met au tapis dès le premier round et le match s'intensifie. Au quatorzième round, Rocky tombe au tapis mais se relève là où tout le monde lui conseille de laisser tomber. Au bout des 15 rounds, chaque boxeur est exténué et souffre de beaucoup de blessures. Apollo Creed est néanmoins annoncé vainqueur par décision des juges, ce que Rocky n'a que faire, vrai gagnant mentalement, qui rejoint Adrian, tombe dans ses bras et lui dit qu'il l'aime.

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