Informations de la Direction (quelques) Une dizaine de sites actuellement, 5 sites à la cible : Lacassagne (new), Gambetta (new), Saint-Priest Millénaire, Gailleton et Sévigné. Coût des 2 sites neufs : - New Lacassagne (en 2017) : 4 250 k€ - New Gambetta (en 2019) : 2 200 k€
Intervention CFE-CGC
Pour la CFE-CGC, sans forcément se prononcer sur le fond, on peut à la toute rigueur entendre comprendre l'argument de G. Pélissier de faire porter les économies futures essentiellement sur l'immobilier, à la condition essentielle que ça soit dans le cadre (mais ça il ne l'a pas dit) du respect du contrat social. Nous nous sommes étonnés en CE DOCE de la préférence de Gambetta par rapport à Vivier Merle (bâtiment dans lequel la direction vient pourtant de s'installer il y a quelques mois), bâtiment moderne, fonctionnel, lumineux, plus proche du fameux « hub » de la Part Dieu que Gambetta. D'autant que le coût des travaux de Gambetta est estimé à 2 200 K€ pour « new Gambetta » et que conserver V. Merle couterait zéro. La direction a avancé 3 arguments en faveur de Gambetta (dans l'ordre ou le désordre : parking plus grand, présence d'une cantine, meilleures relations avec le propriétaire). Compte tenu du cout du réaménagement de Gambetta, nous aurions aimé avoir le cout exact de ce que coute V. Merle, de ce qu'aurait couté une cantine à V. Merle de façon à ce qu'on puisse disposer sur ce point d'une information loyale et sincère – et puis le différentiel en places de parking entre V. Merle et Gambetta. S'agissant de Lacassagne, nous l'avions qualifié de « verrue urbaine » dans le paysage « High Tech » de la Part Dieu, il nous avait été répondu que même une verrue, certes construite par un architecte grand prix de Rome (le même que pour St-Etienne Fauriel, autre monument architectural de la même époque), était classé au titre de l'urbanisme caractéristique des années 70, donc intouchable – au final, le projet prévoit d'y adjoindre 2 bâtiments neufs qui devraient in fine le masquer pour partie.
