L’été a été studieux pour la CFE-CGC, qui n’a cessé d’alerter la direction sur les effets contre-productifs de certaines de ses décisions : recours massif à la sous-traitance, opacité de versement de la prime COVID, précipitations et confusions dans la réalisation des entretiens ARCQ et EI, décision unilatérale sur la négociation salariale, faible implication dans la restauration collective.
Surtout, nous avons rappelé le rôle prépondérant que les instances telles que les commissions et les CSSCT doivent jouer sur des dossiers cruciaux comme ceux des campus de Toulouse/Montpellier ou des grandes manœuvres de réorganisations en AD. Notre direction a la fâcheuse habitude de les ignorer, et de tenter le passage en force en oubliant la voix des salariés. La CFE-CGC est là pour veiller au grain.