22 et 23 mai 2013 : évolution de la Direction de l'Immobilier

information de la Direction :
- Développement : projets et transactions - 150M€ de budget travaux pour 2012
-Gestion : gestion patrimoniale et locative - 413M€ de loyers par an, 3 600 baux pris
- Exploitation: gestion technique et conditions de travail - 120 000 occupants France Télécom –
- DIG = 582 personnes physiques (hors Outre-mer), 533, 3 ETP
- Objectif à 300 salariés pour 2020...., avec un nouveau maillage calqué sur l'organisation des UPR... Ce maillage permet l'atteinte d'une taille critique tout en maintenant la présence de la DIG sur l'ensemble du territoire...
Et permet un partage de compétences et le maintien d'une présence locale sur tout le territoire
Proximité UPR est essentielle (lien avec FTTH, ne pas câbler des sites dont on devra partir)
Intervention CFE-CGC/UNSA :
Si j'en crois l'ordre du jour, le projet d'évolution de la DIG est présenté en information, et consultation dès aujourd'hui. Mais il nous manque beaucoup d'éléments, structurants pour notre compréhension.
Dans la 1ère partie de votre document, vous présentez l'évolution du parc immobilier de France-Télécom, en précisant que l'évolution de la DIG fait suite à une longue réflexion. Soit. Mais pourquoi alors n'avez-vous pas abordé ce point lorsque vous nous avez présenté la politique immobilière du groupe, ainsi que le PSDI ?
Une fois de plus, nous pourrions avoir tendance à penser que l'entreprise n'a pas de véritable stratégie, et que les dossiers qui nous sont présentés sont disjoints entre eux, alors qu'ils ont, bien évidemment, des interconnections.
S'il est responsable de votre part de prévoir l'évolution de la sociologie des effectifs, nous avons du mal à comprendre votre échelle de temps. Car on parle d'horizon 2020, c'est-à-dire dans 7 ans, dans la durée de vie de 2 accords GPEC, et celle de 1 à 2 postes.
Vous précisez même qu'il s'agit d'une « évolution progressive jusqu'à 2020 » (cf. slide 22 du doc de synthèse) et indiquez, slide 33 du doc de synthèse « publication, dès le lendemain du CCUES, des fiches de poste ».
Pourriez-vous donc être plus précis sur ce que vous entendez par « évolution progressive » ?
Y aura-t-il passage d'une structure vers une autre ? Sous quelle échéance ? Comment comptez-vous gérer la coexistence de 2 structures ?
Pour faire simple, comment pouvez-vous avoir une structure A avec des postes et des activités, et modifier sur une durée de 7 ans, ces activités et ces postes, pour arriver à une structure B ? Avez-vous évalué l'impact RPS sur les personnels, qui auront du mal à s'inscrire dans l'une ou l'autre des structures ?
Et d'ailleurs, pour ce qui concerne les Risques psycho-sociaux, quel est ou quels sont les avis des CHSCT impliqués ?
Les médecins du travail et les Préventeurs ont-ils été associés à la gestion des RPS ? Sous quelle forme et à quel stade ?
Je voulais juste vous rappeler que ce point de l'impact social est un des points qui doivent être intégrés aux dossiers d'info/consult. Voir en effet l'accord « perspective-emploi et compétences » du 5mars 2010, article 3.1.1 « l'impact social et plus particulièrement les risques psychosociaux qui pourraient en découler. Les médecins du travail, les préventeurs et assistants sociaux seront associés à la construction du dossier. Les risques dans leur globalité seront examinés par le ou les CHSCT concernés. »
Et d'ailleurs, quels sont ces CHSCT ? Et quels sont les CE concernés ? Quelle sont les dates de passage dans ces instances ?
Sur l'organisation actuelle de la DIG, les rattachements managériaux et sociaux, sur les effectifs (CDI, CDD, sous-traitants) => aucune information.
Combien de porteurs de mandats sont aujourd'hui à la DIG ?
En résumé, si nous saluons votre volonté d'anticipation, mais ne comprenons pas l'évolution à court terme, n'avons aucune visibilité des organisations de départ et cible, avons des doutes sur les RPS, conséquence d'une évolution diluée dans le temps.
Enfin, vous demandez notre avis dès aujourd'hui, et, vu le contenu du dossier et l'échéance finale de 7 ans, nous ne comprenons pas cette urgence. Nous estimons ne pas avoir l'ensemble des éléments pour évaluer les conséquences de ce dossier.
Réponses de la Direction :
On connait les départs, on prend des mesures pour y faire face en travaillant sur les process, utilisation de l'outil Comets vers les Classes 4, pour éviter les déplacements.
Actuellement : 700 000 m2 ne sont pas utilisés
Dérivée baissière : le sens du projet est d'anticiper les déflations futures
Les ATI rejoignent les unités territoriales construites sur la base cartographie UPR.
Les UGI seront rattachées à la DIG
Le SI de la DIG est plutôt vieillissant.

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