Evolution du département du programme de sécurité (SPD) de la DSEC
Rédigé par Brigitte SEN le . Publié dans Fonctions Corporate.
Améliorer la coordination et la transversalité entre les entités du groupe.
- Adapter les ressources et les processus aux nouveaux enjeux stratégiques et opérationnels.
Principales propositions :
- Une nouvelle gouvernance formalisée, clarifiant les missions et responsabilités du SPD.
- La mise en place d’outils de coordination et de suivi pour favoriser une approche transversale.
- Des mesures d’accompagnement pour les salariés, afin de limiter les impacts organisationnels et psychosociaux.
Impacts prévus :
- Une meilleure efficacité dans la gestion des enjeux de sécurité à l’échelle du groupe.
- Des risques identifiés concernant la charge de travail, la légitimité perçue de la DSEC et les conditions de travail, nécessitant des actions préventives.
- Le projet présenté vise à renforcer et réorganiser le département des programmes de sécurité (SPD) au sein de la DSEC, en réponse aux défis croissants en matière de cybersécurité et aux évolutions du groupe.
Objectifs principaux :
- Clarifier et renforcer le rôle régalien de la DSEC dans la sécurité du groupe.
Analyse de la CFE-CGC
Les élus CFE-CGC ont rendu un avis motivé sur l'évolution du département des programmes de sécurité (SPD) de la DSEC. Cet avis, basé sur les rapports de la CSSCT SG et du cabinet SECAFI, met en lumière les risques significatifs pour les conditions de travail des salariés (stress, surcharge, perte de sens, etc.) et pointe des insuffisances dans le projet.
Les élus alertent sur :
- Le manque de légitimité perçue de la DSEC, fragilisant son rôle stratégique.
- L’absence de note de gouvernance formalisant le rôle régalien de la DSEC.
- Des lacunes en termes de coordination, de charge de travail évaluée et de prévention des risques psychosociaux.
Pour limiter ces impacts, les élus demandent :
- Une note de gouvernance signée par la Direction Générale.
- Des moyens accrus pour la DSEC et des processus pour renforcer transversalité et coordination.
- Un suivi régulier des impacts sur les salariés, notamment via des enquêtes trimestrielles et une commission dédiée aux injonctions contradictoires.
- Un accompagnement renforcé au changement, avec des mesures concrètes pour soutenir les salariés concernés.
Enfin, ils appellent à la mise en place d’un comité de suivi régulier pour évaluer l’évolution des conditions de travail et les effets de la transformation.